J’ai vraiment besoin
de pratiquer mon français. Je m’ai mis le projet de écrire un peu chaque jour
et je sais déjà que je ne le ferai pas (note mental : j’ai du corriger le
verbe en future) mais aujourd’hui c’est le première jour et en plus il m’a
arrivé une chose exotique. Je dis
exotique en parlant par rapport à le discours « normal », mais ces
sont des choses qui font la vie plus agréable. J’au luté avec l’ordinateur tout
le matin. Pas vraiment avec l’ordi, mais con un page d’internet : la page
pour payer mes impôts. C’est un URL très très vieux qui ne fonctionne que sur Internet Explorer. Moi, je ne suis pas un As avec la technologie, mais j’utilise
le Chrome et l’Explorer est quitté, déterré je ne sais pas pourquoi. Donc, je m’e
suis pris mon temps (la company de Internet s’a pris tout le temps du monde) et
au fin j’ai pu télécharger le programme et charger l’horrible URL. Pourquoi
est-ce que on veut être des personnes légales ? 300 pesos ne change pas le cours du pays, mais
ils bien change mon économie. Dans le même moment dans lequel l'imprimante
crachais la béni feuille pour pourvoir paie, je sortais de chez moi. J’ai pisé
la rue et j’ai senti ma voix intérieure «hey, toi, hier tu a vu une film en
italienne parce que ton télécommande ne fonctionne pas ». Des feuilles dans une main, la télécommande
dans l’autre. Je courais (exagération) quand, une minute plus tard un mec me
dit : « Disculpame… » et mon tête de linguistique m’a arrêté juste
là. Pourquoi les argentins nous utilisons l’impératif pour demande quelqu'un
de nous pardonner et nous donner l’attention ? Je t’oblige à m’écouter. Mon
visage doit avoir reflété que je n’avais pas écouté. « Je te disais si tu
voulais venir danser salsa aujourd’hui ». J’ai dit une vérité : Je ne
dance pas la salsa. C’est la chose la plus vrai au monde. Je crois qu’il s’a déçu.
L’absence de son turne de parole m’a dit que j’avais le permit pour continuer
la conversation jusqu’ où je voulais. J’ai dit que (on pratique le reported speach, une étrange chose que
je n’ai jamais appris formellement –je n’ai
presque appris le français formellement –et que je ne sais pas même le
nom. Ce recours s’appelle et s’appellerai toujours reported speach) je connaissais
un mec qui avait toujours donné des classes de salsa à Azucar, le lieu le plus
connu a Buenos Aires pour danser salsa. Autrefois il demande « mais, un
autre jour, tu ne crois pas que tu pourras venir ? ». J’ai dit que je
devais partir pour emmener ma télécommande chez le fixateur. La linguistique m’a
montré que ce n’est pas important que le dit, sinon aussi le pas dit, l’omit, l’acte :
« je pars ». Il m’a demandé mon e-mail pour m’inviter à les futures
rendez vous de salsa. À ce moment là la salsa m’a rappelé que j’étais famélique.
Mais le mec ne se retirait pas. « Est-ce que tu vas au parc prés d’ici ? »
Le choix facile : non. « je peux préparer le mate et on y va ».
Je me demande… est-ce que tu pense que je n’ai pas une vie, una vida,
plainé de choses à faire ?
Je suis arrivée
au banc. Il y avait plus de 15 personnes avant moi. Mon estomac s’est mis un
peu nerveux. Je prends mon livre et
quand je monte ma tete dis minutes après il y avait un mec qui passait pour le
box de payement sans faire la queue. Qui était c’est mec sans scrupules ?
C’est complètement déductible. J’étais sur le point de dire quelque chose quand
il m’a reconnu.
La situation a
été un peu étrange. Il est le fils de la secrétaire du chef du banc. Il devait
emmener pour sa maman de lunettes oubliées. Sa mère, une femme très sympatique m'as dit "Qu'étrange, tu paies tes impôts au jour". Oui, j’ai fait une chose horrible
et immoral, et je promets que je ne la ferai jamais,(c’est fois j’ai bien écrit le future !) mais tellement jamais: je ferai toujours des queues . Le mec, il est mon voisin. Il habite à
5 maisons de la mienne. Il à une très jolie sourire, et il est professeur de
salsa !